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Sondage flash : le poste de travail encore prisonnier

Sondage flash : le poste de travail encore prisonnier

Si la Gendarmerie Nationale peut se permettre de basculer 70 000 postes de travail sous Linux sans que cela soit compliqué, c'est parce que son SI le rend possible. Ce n'est pas le cas partout.

PublicitéQu'est-ce qui empêche de regarder sereinement le coût du poste de travail, notamment au niveau de son système d'exploitation ? Selon notre sondage flash de la semaine passée, ce n'est ni la pression des utilisateurs (« ne touchez à rien ! ») ni celle des fournisseurs, pourtant souvent décriée (vente liée...). La première raison (plus du tiers des réponses) est intrinsèque au SI : l'adhérence d'une partie des applications au système d'exploitation des postes de travail, au lieu de les rendre accessibles au travers d'un navigateur standard ou de les développer dans des technologies trans-plates-formes (Java...). A cela s'ajoute la deuxième cause (plus du quart des répondants) : le conformisme intellectuel. Autrement dit : si les entreprises ne peuvent pas faire pleinement jouer la concurrence, c'est avant tout, pour presque les deux tiers des répondants, de leur propre faute.

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