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Le Stade Toulousain sécurise ses données entre ses sites

Le Stade Toulousain sécurise ses données entre ses sites

La société sportive aux besoins complexes a choisi les solutions de R-Cost et AGS.

PublicitéLe Stade Toulousain est une société anonyme sportive professionnelle réalisant un chiffre d'affaires de plus de dix millions d'euros par an grâce à ses 80 collaborateurs. Ceux-ci se répartissent à parité entre le domaine sportif et les autres domaines (administratif, boutiques...). Cette société possède son propre stade, le stade Ernest Wallon (aussi appelé stade des Sept Deniers) et les boutiques adjointes, notamment en restauration.

Le système d'information couvre l'ensemble des activités de l'entreprise, ce qui implique une variété de logiciels, notamment la billetterie, et la génération de 2,5 To de données par an. En 2008, le nouveau DSI constate que la sécurité est très insuffisante : malgré la criticité de certains systèmes (la billetterie par exemple), aucun PCA n'existe. Seules des sauvegardes sur bandes magnétiques sont réalisées ponctuellement à partir des serveurs Windows 2008 et Windows 2003 ainsi que du serveur sous Linux pour l'intranet.

La Stade Toulousain possède des sites distants. Il en résulte des connexions entre sites qui sont autant de sources de failles de sécurité mais aussi une opportunité pour installer des réplications distantes.

Après étude de marché, le Stade Toulousain choisit d'installer des boîtiers de sauvegarde intégrant la réplication distante. En l'occurrence, la société a choisi d'installer des boîtiers Noébox de R-Cost autant en local sur son siège que dans un site distant. Ces boîtiers sont associés à la solution logicielle ShadowProtect distribuée par Athéna Global Services (AGS).

Le logiciel ShadowProtect est installé sur chaque serveur matériel ou virtuel et sauvegarde une image intégrale de chacun sur le premier boîtier local, qui fonctionne comme un NAS. Celui-ci se réplique d'une part sur un boîtier de secours en local et d'autre part sur un boîtier distant via les connexions existantes.

La restauration d'une image de 1 To peut se faire en moins de deux minutes en local. En cas de défaillance du premier boîtier local, le second peut être mobilisé aussitôt. Le boîtier distant sert quant à lui en cas de sinistre sur le site principal.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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