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Kem One migre 280 serveurs dans le cloud public et baisse ses coûts

Jean-Yves Pottier, responsable infrastructures IT chez Kem One, a pu baisser les coûts et gagner en agilité grâce au cloud public.

Pour remplacer deux datacenters en propre, Kem One a choisi un lift and shift avec VMware Cloud on AWS intégré par Teamwork.

PublicitéIssu de la scission de la filière vinylique du groupe chimique Arkema en 2012, Kem One est spécialisé dans la chlorochimie, notamment la production de PVC (polychlorure de vinyle, 870 000 tonnes par an) et de soude (730 000 tonnes par an). Outre le siège, ses sept sites industriels français et son site espagnol lui permettent de générer un chiffre d'affaires de 900 millions d'euros grâce à plus de 1300 collaborateurs dont 900 utilisent directement le SI. Jusqu'en 2018, le système d'information de l'entreprise industrielle reposait sur une paire de datacenters distants en région lyonnaise. Géré par une équipe limitée de trois personnes, l'infrastructure était hétérogène et vieillissante. Une migration s'imposait.

Un appel d'offre a donc été lancé dans cet objectif. Si le cloud public est une solution qui séduit l'entreprise, il est impératif de ne pas avoir à réécrire le système d'information. L'intégrateur Teamworks accompagne alors l'entreprise dans une migration vers AWS mais avec l'offre VMware Cloud on AWS qui lui permet de transférer 280 machines virtuelles sous VMware vSphere en mode lift and shift à moindre coût et rapidement. L'interruption totale de service n'a pas dépassé les 15 minutes. Pour s'assurer de maîtriser l'aspect financier, le groupe a, de plus, adopté la démarche FinOps. Par rapport aux datacenters propres, l'économie réalisée grâce à cette migration est de 26 %. Bien entendu, l'entreprise bénéficie désormais de l'agilité propre au cloud.