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SNECMA fait le ménage dans sa documentation technique

Grâce aux solutions de PTC, la SNECMA a facilité la production, la gestion et la diffusion des documentations techniques de ses moteurs.

La création et la gestion des documentations techniques pour l'aéronautique sont soumis à de très nombreuses normes. La SNECMA a donc voulu refondre sa gestion documentaire qui tendait vers l'obsolescence.

PublicitéMotoriste européen de premier rang pour l'aéronautique, la SNECMA (groupe Safran) compose aujourd'hui avec une grande diversité de documentations techniques, qu'elle doit adresser à de nombreux acteurs. Ces dernières doivent en outre correspondre aux diverses normes, en constante évolution.
Or la solution utilisée par le motoriste d'Ariane et du Rafale pour gérer ses bases documentaires était vieillissante. La SNECMA devait trouver un moyen de contrôler, centraliser et pérenniser ses documentations techniques, mais aussi de faciliter leur création.

Il fallait, en outre, faciliter l'accès à ces bases documentaires pour les clients, civils et militaires, ainsi que pour les différents partenaires de la filiale de Safran. La SNECMA a donc décidé de refondre les systèmes de gestion de sa documentation technique. Elle s'est alors tournée vers les solutions de gestion d'information collaborative de PTC, PTC Arbortext pour gérer la publication et la création des documentations techniques, ainsi que Windchill Service Information Manager pour rationaliser ses bases.

Déjà opérationnelles, les solutions n'ont pour l'instant été déployées que sur certaines gammes de moteurs, les autres devant suivre dans le courant de l'année. Sur les documentations des moteurs déjà couvertes par les systèmes de PTC, la SNECMA a pu constater une meilleure cohérence du fond documentaire, dans le respect des normes et des standards.
En outre, les partenaires et sous-traitants peuvent maintenant accéder directement aux documentations techniques depuis leur poste de travail. La création des documents a, elle aussi, était largement simplifiée. Une fois mené à son terme, le projet devrait toucher 600 utilisateurs.