Nominations

Ambica Rajagopal nommée Group Chief AI Officer de Michelin

Ambica Rajagopal nommée Group Chief AI Officer de Michelin
Ambica Rajagopal a une carrière qui l’a menée d’Inde aux Etats-Unis.

Basée en Inde, Ambica Rajagopal a rejoint le spécialiste des pneumatiques français Michelin comme directrice groupe pour l'intelligence artificielle.

PublicitéAmbica Rajagopal vient d'être recrutée Group Chief AI Officer par le spécialiste des pneumatiques Michelin. Elle est basée à Pune, dans l'état de Maharashtra en Inde, à une centaine de kilomètre de Bombay. Titulaire d'un doctorat en mathématiques (probabilités) de la Purdue University (Indiana, Etats-Unis) en 2006, Ambica Rajagopal a débuté sa carrière comme spécialiste de la modélisation financière pour la couverture des risques chez KPMG (2006-2007). Elle a ensuite rejoint, aux Etats-Unis, l'éditeur RMS basé en Californie et spécialiste de la gestion des risques. Elle a évolué au sein de cette société de responsable de modélisation financière à directrice de plate-forme applicative.

En 2015, Ambica Rajagopal est revenue en Inde, à Bangalore dans l'état du Karnataka. Elle a été nommée à cette date responsable data science pour la filiale locale de l'Américain Fidelity Investments. L'année suivante, elle a changé de secteur et de ville, rejoignant l'industriel automobile Cummins Inc. à Pune comme directrice data science jusqu'à son embauche par Michelin. Elle a parallèlement réalisé des missions en 2019 et 2020 comme directrice analytique chez l'intégrateur réseau et télécom Sterlite Technologies Limited et comme membre du comité pédagogique du MBA de la NMIMS University à Bombay.

Partager cet article

Commentaire

Avatar
Envoyer
Ecrire un commentaire...

INFORMATION

Vous devez être connecté à votre compte CIO pour poster un commentaire.

Cliquez ici pour vous connecter
Pas encore inscrit ? s'inscrire

    Publicité

    Abonnez-vous à la newsletter CIO

    Recevez notre newsletter tous les lundis et jeudis

    La question du moment
    Lors de la modernisation ou du remplacement d’une application, le passage au mode SaaS est-il une option systématiquement étudiée ?