Projets

Le Groupement des Mousquetaires fiabilise sa transmission d'informations avec une ergonomie bureautique

Romuald Voisin, chef de projet BI à la STIME (DSI du Groupement des Mousquetaires), se réjouit de la brièveté des projets menés.

La fédération de distributeurs indépendants Groupement des Mousquetaires a choisi Gathering Tools pour des échanges et traitements d'informations.

PublicitéLes enseignes Intermarché, Bricomarché, Roady, Poivre Rouge, etc. appartiennent toutes au Groupement des Mousquetaires, une fédération d'indépendants. Sa DSI est une structure autonome baptisée la Stime. Celle-ci opère en prestataire de services pour les adhérents du groupement en répondant aux besoins de ceux-ci. Au sein de l'enseigne Eurodif, un besoin avait été traité de manière indépendante au départ : récupérer des données auprès de points de vente et ensuite les exploiter. Il y a un peu plus de six ans, l'enseigne avait alors utilisé un micro-ordinateur standard comme serveur pour la solution Gathering Tools, choisie pour sa facilité d'usage, avec une ergonomie qui ressemble, pour l'utilisateur final, à Excel.
Mais, d'une part, Gathering Tools est une solution qui a évolué, son administration devenant plus complexe et ses fonctionnalités plus riches, moins pousse-boutons, d'autre part d'autres besoins existaient dans le groupe et, rapidement, s'est aussi posée la question de la communication des données entre Gathering Tools et le reste du SI. La Stime a alors repris la gestion du produit et l'a installé, toujours On Premice, dans le datacenter du Groupement.

Déclinaison sur d'autres besoins

Une première déclinaison a concerné la collecte des données auprès des acheteurs pour créer les prospectus quinzomadaires. Les acheteurs saisissent donc dans un formulaire les données nécessaires et la chaîne de fabrication du prospectus est ainsi fiabilisée pour tous les autres intervenants.
De la même façon, l'entité dédié à la logistique du groupement a utilisé le même outil pour collecter et traiter des données de ressources humaines et financières. Celles-ci sont ensuite utilisées pour fabriquer le reporting groupe.

Facile mais encadré

La création de feuilles de saisies peut se faire en encadrant strictement les données. Les feuilles peuvent disposer de différents niveaux de sécurité. Et des contraintes de saisies peuvent être paramétrées aisément (par exemple pour empêcher d'avoir un stock de boîtes de petits pois de -3,7). L'utilisateur final ne peut pas modifier les contraintes de saisies.
Malgré tout, l'ergonomie similaire à un outil bureautique tel qu'Excel permet à des non-spécialistes de procéder à des créations ou des modifications de feuilles de saisies. Et l'outil est conçu pour qu'il ne soit pas nécessaire de développer de lourdes macros. Le document pourra cependant être personnalisable. Une fois ses données remplies, l'utilisateur final n'a plus rien à faire : la construction du reporting suit les règles pré-définies. Et, si la saisie des données n'a pas été opérée, il est aisé de relancer le retardataire.

Des projets courts

« Ce qui fait que ça marche, c'est surtout que tout déploiement de questionnaire peut s'effectuer en quelques jours, tests inclus » se réjouit Romuald Voisin, chef de projet BI à la Stime. Les usages sont, aujourd'hui, de trois types : l'établissement de documents financiers ou RH, les enquêtes internes (comme l'évaluation de la DSI) et la création de tableaux lourds comme la collecte d'informations sur les clients ou les accidents du travail. Il arrive que Gathering Tools soit également employé pour maquetter des réponses à des besoins peu définis, dans le cadre d'une démarche agile. Une fois les besoins clairs, un développement spécifique peut alors être opéré.
Gathering Tools s'achète sous la forme de licences définitives avec maintenance, au serveur et à l'instance avec un certain nombre d'utilisateurs sur chacune. Il est nécessaire que chaque utilisateur dispose d'un client, soit un type player pour les répondants, soit un vrai client lours pour les gestionnaires. Au Groupement des Mousquetaires, 70 personnes ont un accès en tant que gestionnaire. Mais les répondants sont potentiellement la totalité des collaborateurs.

Publicité