Projets

L'ensemblier Ortec implémente un nouveau PGI au coeur d'un SI très spécifique

Le groupe Ortec a choisi Qualiac comme nouveau coeur de son SI sans remettre en cause les autres logiciels, notamment métier.

PublicitéLe groupe Ortec est un ensemblier de services pour l'industrie, le nucléaire et l'environnement présent dans 11 pays au travers de 60 agences. Les 4200 collaborateurs générèrent un chiffre d'affaires de 550 millions d'euros. Le PGI installé en 1999 ne permettait pas de gérer les différentes filiales sur une solution comptable unique, ce qui impliquait des difficultés majeures lors des consolidations. Dans le cadre d'une refonte du SI, le métier d'Ortec étant très spécifique, le groupe a développé des outils spécifiques pour la gestion commerciale, des achats et des stocks. En 2006 est venu le tour de la comptabilité qui devait s'interfacer en temps réel avec une vingtaine d'outils métiers, la paye et la gestion commerciale. Le groupe a choisi la solution proposée par Qualiac après avoir mis en compétition cinq sociétés. Il a notamment apprécié l'architecture centralisée de la solution et son accès full web. La bonne réputation de l'éditeur et la satisfaction exprimée par d'autres clients interrogés pour l'occasion ont été des critères essentiels. L'équipe projet d'Ortec, comprenant des membres de la comptabilité et de la direction financière, ont bénéficié d'un transfert de compétences de la part de Qualiac lors de la phase de paramétrage. A terme, une centaine de personnes (dont 50 à la comptabilité) utiliseront le nouveau PGI. La bascule définitive est prévue en janvier 2009. Le coût du projet n'a pas été révélé.

Partager cet article

Commentaire

Avatar
Envoyer
Ecrire un commentaire...

INFORMATION

Vous devez être connecté à votre compte CIO pour poster un commentaire.

Cliquez ici pour vous connecter
Pas encore inscrit ? s'inscrire

    Publicité

    Abonnez-vous à la newsletter CIO

    Recevez notre newsletter tous les lundis et jeudis

    La question du moment
    Lors de la modernisation ou du remplacement d’une application, le passage au mode SaaS est-il une option systématiquement étudiée ?