Comment aligner la stratégie applicative et les besoins métiers ?

Face à l’obsolescence technologique, mais aussi aux coûts importants, au télétravail et au manque d’agilité, les ERP et applicatifs métiers traditionnels sont de plus en plus souvent remplacés. Pour des raisons pratiques, les SaaS sont souvent choisis. Totalement hébergés et maintenus par l’éditeur, les SaaS ont, sur le papier, tout pour séduire. Mais les limites du modèle sont pourtant bien là et peuvent se rappeler au bon souvenir du DSI. D’abord, des besoins métiers pointus doivent être traités en dehors des standards. Cela implique de développer ces logiciels spécifiques, de leur choisir un hébergement et de les intégrer à un SI comprenant des SaaS. Dans de tels cas, le recours au low-code / no-code peut parfois offrir une réponse pertinente, laissant une large autonomie aux métiers utilisateurs de la solution. Certains éditeurs de SaaS proposent d’ailleurs des PaaS à cette fin, avec une riche palette d’outils associés, pouvant même comprendre de l’IA. Néanmoins, le recours au cloud a lui aussi ses limites, notamment réglementaires avec, au premier chef, la problématique de conformité RGPD. Le SI devient de ce fait de plus en plus hybride à tous points de vue : cloud public/cloud privé/non-cloud, standard/spécifique ou SaaS/on premises.

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