Proposé par Leviia

Pressions budgétaires ET cybersécurité : comment résoudre le dilemme des DSI ?

Les DSI naviguent aujourd'hui dans une mer agitée. Tout en cherchant à renforcer leurs infrastructures pour une sécurité accrue, ils sont simultanément pressés par les départements financiers pour optimiser leurs dépenses. Dans ce contexte, quelles solutions peuvent-ils envisager pour concilier sécurité, besoins techniques et impératifs budgétaires ? Arnaud Méauzoone, co-fondateur et CTO de Leviia, entreprise spécialisée dans le stockage en ligne, nous éclaire sur ces questions.

Pressions budgétaires ET cybersécurité : comment résoudre le dilemme des DSI ?

Explosion des cyberattaques

Les attaques cybernétiques se multiplient. Elles se sont maintenues à un niveau « élevé » en France, selon le dernier rapport annuel de l’ANSSI (Agence nationale de sécurité des systèmes d’information). L'enjeu de la cybersécurité préoccupe fortement les DSI. Paradoxalement, c’est dans ce contexte que les DSI sont soumises à de fortes pressions pour contrôler des dépenses toujours en hausse.

Deux options s’offrent aujourd’hui aux DSI : 

- soit investir massivement dans la cyber-protection pour contrer des attaques de plus en plus sophistiquées, telles que le social phishing ; 
- soit investir dans une stratégie de sauvegarde robuste pour garantir la continuité de leurs activités après une attaque. 

Oligopole de fait 

Investir dans la sauvegarde des données constitue progressivement une stratégie de protection essentielle pour de nombreuses entreprises. En effet, au lieu d'investir massivement dans des infrastructures de sécurité haut de gamme qui doivent évoluer en permanence, les entreprises peuvent se concentrer sur la mise en place de systèmes de sauvegarde robustes. 

En les combinant à des solutions de sauvegarde comme Veeam, Rubrik, Commvault, Iperius, Nakivo ou encore Atempo, les fournisseurs de solutions dobject storage apportent une réponse non-négligeable à leurs enjeux en s’intégrant à la méthode 3+2+1+1. Or le marché de l’object storage est largement dominé par les trois géants américains, à savoir Amazon, Google et Microsoft, sans compter Alibaba Cloud en Chine. Cette situation crée de facto un oligopole, ce dont témoignent la très faible concurrence réelle, ainsi que le niveau élevé et l’opacité des tarifs pratiqués. Par exemple, le coût du stockage objet chez AWS, Azure et Google Cloud se situe entre 22 et 24 euros par téraoctet. Des prix quasi-identiques, et que l’on peut qualifier d’excessifs - d’autant plus que de nombreux frais supplémentaires s'ajoutent aux tarifs de base. « Le fait est que certains produits sont chers. En plus, sy ajoute une nébuleuse de consommables qui, quoi qu'il en soit, seront facturés à la fin du mois, consommés ou non. Chez Leviia la tarification est hyper simple et transparente : 5,99HT/mois/To sans aucun autre frais. Ni frais de sortie, ni frais de réplication. », précise Arnaud Méauzoone, co-fondateur et CTO de la société Leviia.

Gouverner (le cloud), c’est prévoir

C'est là que Leviia intervient en offrant la possibilité aux DSI de réduire et prévoir leurs coûts de sauvegarde. La start-up française, créée en 2020, propose Leviia Stockage Objet, une solution souveraine qui permet aux grandes entreprises et aux administrations de réaliser des économies substantielles (jusqu’à moins 80%) par rapport aux tarifs des géants du cloud. « Le problème du cloud est double. Dabord, son management : comment piloter le fait que les gens puissent consommer du cloud. Deuxièmement : comment faire en sorte que cette consommation devienne prévisible », ajoute-t-il.

Car tel est l’autre sujet pointé par les DSI : la difficulté de prévoir les coûts engendrés par les services cloud managés des GAFAM. « Leur facturation est d'une complexité à toute épreuve, poursuit-il. Il est très facile de lancer des services et de les utiliser. Mais le DAF ou la DSI n'ont aucune idée du montant de la facture à la fin du mois », souligne Arnaud Méauzoone. C’est pourquoi avec le mode de facturation proposé, Leviia offre la possibilité de budgétiser en amont et de manière transparente les frais engagés « sans aucune ligne de facturation supplémentaire sur la partie stockage objet », précise-t-il. 

La souveraineté : une solution 100% française

Enfin, autre sujet brûlant pour les DSI : la souveraineté et la confidentialité des données. Les administrations françaises et certaines entreprises françaises sont tenues d'utiliser des solutions de stockage souveraines pour des raisons de sécurité et de protection des données. Leviia propose une solution de stockage objet souveraine, 100% française, en totale conformité RGPD et certifiée ISO 27001 et HDS (hébergeur de données de santé). Ces certifications assurent à ses clients que Leviia dispose en interne de politiques et de processus solides pour identifier, évaluer et gérer les risques potentiels en matière de sécurité de l'information. « Nos clients, entreprises, mairies, métropoles, communautés d’agglomération etc., se montrent heureux de nous avoir trouvé, parce qu'on leur offre une alternative souveraine et très économique par rapport aux géants américains », ajoute Arnaud Méauzoone.

Quant à la question de l'inflation et de l'augmentation des coûts liés à l'électricité, Leviia fonctionne en louant des serveurs bare metal à OVH avec des données répliquées dans 3 data center distants, sur la base d’engagements financiers pour maintenir des coûts constants sur la durée des contrats. En garantissant le maintien de tarifs compétitifs dans la durée, l’entreprise assure ainsi aux DSI d’organisations de toute taille, mieux que la maîtrise de leurs coûts : leur prévisibilité. Un atout non-négligeable dans un contexte marqué par l’inflation, l’augmentation des cyber-attaques et la sécurisation des données. 

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