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Le Cloud public fait son chemin dans tous les esprits

Le Cloud public fait son chemin dans tous les esprits

Les DSI ne s'opposent plus au Cloud public, même quand ils préfèrent d'abord passer par la case Cloud privé. Grâce au Cloud, ils deviennent des intégrateurs de services. De plus, ils réconcilient le développement et la production.

PublicitéLe Cloud public entre dans les moeurs, même pour les grandes entreprises ou pour des applications critiques. Et lorsque la formule du Cloud privé reste privilégiée, c'est souvent en acceptant de s'ouvrir un jour au Cloud public, jugé inéluctable. Pourquoi cette évolution ? Les raisons sont économiques, issues des exigences des métiers ainsi qu'à la difficulté de disposer en interne des compétences nécessaires. Les questions liées à la réglementation, à la réversibilité, à la confidentialité et à la sécurité des données ne sont plus invoquées comme des obstacles insurmontables, mais comme des points à contractualiser. Les DSI font même preuve d'une certaine résignation vis-à-vis des applications en mode SaaS dont les clauses contractuelles sont peu ou pas négociables.

Réussir la transition : le vrai enjeu

Pour réussir la transition vers le Cloud, la DSI devient un intégrateur de services et rassemble les équipes du développement et de la production, en adoptant le concept de DevOps, une approche qui accélère les mises en production. Evoluer vers le Cloud suppose de réaliser de profondes transformations. C'est ce que l'on constate à l'écoute des managers des systèmes d'information de Crédit Agricole, d'Axa Global Direct, de La Mutuelle Générale, de la banque Monte Paschi, de Ventadis (filiale de M6) et de la Communauté d'Agglomérations de l'Aéroport du Bourget.

Le Crédit Agricole déploie un Cloud privé et se prépare au Cloud public

Chez Crédit Agricole, le Cloud public n'est pas diabolisé. « C'est un phénomène inéluctable qui nous amènera nécessairement à placer une partie de nos applications à l'extérieur, pour des questions de coût et d'agilité », relève Laurent Verdier, CTO du Crédit Agricole, responsable du pilotage des Infrastructures et des opérations, à la direction informatique et industrielle. Une vision qui part d'un constat. Malgré un budget annuel de 2 milliards d'euros et une équipe de production de 1500 personnes, la DSI est (...)

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