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Pour dématérialiser ses process, l'ANDRA choisit un BPM low code

Pour dématérialiser ses process, l'ANDRA choisit un BPM low code
Pierre-Yves Fauroux, Architecte des SI au sein de l’Andra, a choisi un BPM low code après une phase de pilote.

L'ANDRA recourt au BPM low code de K2 pour ses circuits de validation et automatiser certaines tâches.

PublicitéEtablissement public à caractère industriel et commercial (Épic), l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) est chargée de la gestion à long terme des déchets radioactifs français. Sa gestion interne repose sur le PGI de SAP mais l'outil inclus de workflow est peu efficace et de nombreux processus sont gérés en format papier. En 2015, la DSI de l'ANDRA décide de mettre en oeuvre un nouveau schéma directeur qui prévoit notamment le déploiement d'un outil de BPM visant à gérer des processus complexes, sans avoir à coder, et s'interfaçant nativement autant avec SAP qu'avec l'annuaire Active Directory.

La DSI de l'ANDRA a décidé de tester l'outil de BPM low code de K2. Une maquette permet d'abord de vérifier le respect des contraintes techniques. Puis trois collaborateurs sont formés durant quatre jours à l'usage de l'outil afin de tester des processus pilotes. L'équipe interne met ainsi en place deux processus et un consultant K2 un autre processus. Fin 2015, le respect de tous les objectifs, notamment d'autonomie de l'ANDRA pour créer des processus automatisés, est validé et l'outil est définitivement choisi. Certains processus ont ainsi pu être grandement accélérés, y compris ceux faisant intervenir des extérieurs, passant par exemple de deux jours à quelques dizaines de minutes.

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