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Le SDx et le cloud hybride vus comme l'avenir des datacenters

Le SDx et le cloud hybride vus comme l'avenir des datacenters
Le cloud hybride est la forme de cloud privilégiée par la grande majorité des DSI.

L'éditeur Suse a diligenté une étude sur les choix d'architectures des infrastructures : la plupart des DSI privilégient le SDI et le cloud hybride.

PublicitéLa virtualisation des infrastructures, via la Software Defined Infrastructure (SDI), et le cloud sont de plus en plus adoptés par les entreprises selon une étude commandée par l'éditeur Suse auprès du cabinet Insight Avenue. Cette étude porte sur les attentes des entreprises pour faire évoluer leurs datacenters actuels, ce qui passe donc avant tout par les technologies de type Cloud/SDx.
Le cloud hybride est largement privilégié : 63 % des répondants le choisissent contre 37 % le cloud privé et 17 % le cloud public. Le cloud public est plutôt destiné au développement, le privé à la production : 80 % des répondants souhaiteraient ainsi passer de l'un à l'autre lors de la mise en production. Le premier but de l'adoption du cloud est la réduction des coûts (62 % des répondants) mais il en existe d'autres : consolidation des datacenters (55%), rééquilibrage des dépenses exploitation/investissement (50%), amélioration de la productivité des développeurs (50%)...

Un besoin d'améliorer les compétences

Concernant les datacenters eux-mêmes, 91 % des répondants français jugent que son évolution inéluctable est le SDx, avec des infrastructures définies totalement par logiciel. Il en résulterait une gestion simplifiée des datacenters (65%) et une livraison plus rapide de ressources (60%). 31 % des entreprises françaises (27 % dans le monde) déclarent utiliser la technologie des conteneurs et 37 % envisagent d'en implémenter dans l'année qui vient.
La quasi-totalité des répondants juge nécessaire d'améliorer les compétences disponibles sur le marché en matière de cloud privé (92%), de cloud hybride (92 %), d'IoT (85 %), de conteneurs (85 %), d'analytique (82 %), de DevOps (79 %) et d'OpenStack (75 %). Mais, en France, 48 % (contre 55 % au niveau mondial) jugent que ce développement des compétences doit avant tout reposer sur des efforts individuels plutôt qu'à l'entreprise.

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